About me




Cecile sun-Im Minaud
"La réussite de l'entreprise individuelle est l'adéquation entre la personne, l'entrepreneur et l'entreprise."
Blog
Je partage, dans la partie blog, mon journal. Des tranches de vie, des expériences, des souvenirs en vrac… Bref ma vie de poulpe. Vous y trouverez mes pensées et divagations de multipotentielle HPI.
Vous pouvez aussi retrouver dans les ressources, le fruit de mes recherches pour vous aider à y voir plus clair dans vos idées.
Services
Je propose uniquement des sessions en face-à-face (à distance ou en présentiel) car là est ma zone de génie. Ce qui m’intéresse et de vous proposer des solutions sur-mesure.
Des sessions uniques, des accompagnements pur vous aider à mieux vous connaitre et avancer dans VOTRE projet.
Ceci n'est qu'une partie de mon histoire
Mon parcours

Je suis née en Corée du Sud et je suis arrivée à l’âge de 7ans (enfin presque) en France.
Je me suis toujours sentie différente.
Je l’ai d’abord mis sur le compte de ma double culture et de mon histoire. Ce qui est en partie vrai mais pas totalement.
Il est vrai que j’ai du apprendre les nouveaux codes pour m’adapter le plus rapidement possible dans mon nouvel environnement.
Excellente élève, ma scolarité s’est faite sans heurt. Au collège j’ai du faire mon premier vrai choix d’orientation: Passer un bac musique (je faisais du piano et passais des concours à l’époque) ou un bac général. J’ai écouté les adultes autour de moi : « Ça serait dommage de gâcher ton potentiel. Tu as les capacités de passer un BAC S. Passe un bac général. Tu verras ensuite. Je les ai écoutés. Il faut dire que je ne me voyais pas non plus faire QUE du piano jusqu’à la fin de ma vie.
Au lycée, j’ai tout remis en question. L’école, l’autorité, le fonctionnement du monde… Bref, j’étais le « cliché » de l’ado rebelle. Etant dans ce qu’on appelait la « voie royale » (Bac S, spécialité maths, options sciences de l’ingénieur), on me répétait sans cesse : « Tu peux tout faire ». Sauf que c’était ça mon problème.
Que faire ? Quelle voie choisir parmi toutes mes passions ?
La seule certitude que j’avais était que je ne voulais pas faire ce à quoi on me destinait : ingénieure.
Après quelques recherches et une année en Communication que j’ai abandonnée, je me suis dit que j’allais faire professeure des écoles. Comme ça, je n’aurai pas de choix à faire. Je pourrai faire des maths, du français, de la musique, du sport, de l’histoire-géo… Et puis, j’avais un rêve : Mettre un coup de pied dans cette grosse fourmilière.
En parallèle, je faisais de la basse. Nous avons avec mon groupe fait quelques scènes et même encaissé nos premiers cachets. « Tu ne veux pas devenir bassiste professionnelle ? » J’ai bien été tentée mais je suis revenue à la raison. Celle des autres.
Après une maitrise de Sciences du langage, je suis bel et bien devenue prof. Prof de français finalement. J’ai adoré mais je me suis rendue compte que ce que je préférais était la pédagogie pure, non la matière… Et je ne me suis pas adaptée à l’Education Nationale. Et l’orthographe n’est pas mon fort !
Je me suis alors tournée vers le coaching scolaire.
Sauf qu’au passage de la trentaine, j’ai eu peur. Peur de regretter, d’être passée à côté de ma vie. J’avais envie d’exprimer pleinement ma créativité et mon côté plus artistique. J’ai eu envie de lancer mon entreprise. Mais je n’y connaissais rien ! Il faut dire que j’étais à mille lieux des activités « lucratives ».
J’ai pris un an pour me former. Je suis retournée à l’université étudier la conception et la commercialisation de jeux et jouets.
J’ai créé une première entreprise de conception de peluches et d’objets de déco. Je me suis lancée dans l’entrepreneuriat. En bon multipotentielle, je continuais en parallèle mon activité de coaching scolaire et avait un poste de responsable de boutique (fallait que je me confronte à la vente et à la gestion).
Au bout de 3 ans, il fallait que je me rende à l’évidence. Je voyais les limites de mon activité. J’ai clôturé l’entreprise mais c’était trop tard : J’avais trop pris goût à l’entrepreneuriat !
Je suis retournée vers mes premiers amours : la pédagogie. J’ai accompagné des entrepreneurs à designer leur formation, à la rendre plus active, plus performante. J’ai aussi intégré mes apprentissages dans le secteur du jeu pour concevoir des outils pédagogiques ludiques .
Je suis intervenue dans des entreprises, des écoles et formé des experts dans leurs domaines à transmettre leurs savoirs.
Puis petit à petit, j’ai eu des demandes pour accompagner les entrepreneurs dans leurs projets d’entreprises. J’ai aussi compris mes forces et mes zones d’excellence : Les aider à faire le tri dans leurs idées, à y voir plus clair et à structurer leurs idées.
En parallèle, je me suis intéressée au Haut Potentiel. D’abord pour mes clients (je suis particulièrement à l’aise avec les profils neuro-atypiques) puis pour moi.
J’ai fini par passer le test WAIS IV. Le verdict est tombé. Je fais partie des HPI. J’ai aussi réalisé un bilan personnalisé HPI pour encore mieux comprendre mon profil et mes capacités.
Et me voici à la veille de mes 40 ans avec un nouveau projet.
Nouveau ? Pas vraiment.
Ce projet est juste la concordance de toutes les tentacules qui me constituent.
Ce projet est juste la mise en exergue de mes zones d’excellence, de mes forces et de ce que je peux apporter de mieux aux autres. Ce projet est juste le respect de mon mode de fonctionnement et la mise à disposition de ce que mon cerveau sait faire de mieux : analyser les besoins et trouver des solutions adaptées aux spécificités de chacun.
Ce projet est juste la convergence de tous mes projets passés et de mes expériences.
Et si vous me racontiez VOTRE histoire ?
Vous vous reconnaissez dans mon histoire ? Vous souhaitez échanger sur votre situation et vos problématique ?
Laissez-moi un message et je vous contacterez pour échanger de vive voix !